Les nouveaux pensionnaires du marché des champs de courses de l’ex-marché Sandaga de Dakar, n’en peuvent plus de souffrir le martyr.
A en croire leur porte-parole, Elhadji Fallou Mbengue, leur nouveau lieu de travail, laisse à désirer : il est enclavé, non éclairé, et ne disposant pas de commodités pour les occupants, confinés dans des cantines exiguës.
Bref, ils passent le plus clair de leur temps à deviser, faute de client. Depuis deux mois, les plaignants voient leurs chiffres d’affaires fondre comme beurre au soleil et n’ont pas encore une solution-miracle, à leurs problèmes, hélas.
: Bouavogui Amath